Chanteuse, mannequin, égérie, si Amanda Lear a fait beaucoup de choses dans sa vie, on est de premier abord en peine d’y trouver une cohérence... Mais les reporters de stars-oubliees.com ne s’arrêtent pas aux apparences, et une enquête approfondie nous a révélé la vérité sur ce qui a motivé Amanda toute sa carrière : Secrètement amoureuse de Philippe Bouvard, elle voulait à tout prix participer aux grosses têtes. « Si Sim peut le faire, je peux le faire ! » déclara-t-elle à ses amis médusés un soir où elle n’avait pas bu que de l’eau de vie.

La belle histoire de la petite (pas pour longtemps) Amanda commence à Hong Kong en 1948. La belle histoire de la grande Amanda commence 16 ans plus tard, lorsqu’elle devient mannequin. A partir de là, tout s’enchaîne. Devenue l’égérie de Dali, excusez du peu, elle est invitée à RTL et croise dans les couloirs le beau Philippe, qui ne fait pas attention à elle. Amanda s’en étonne, mais la raison est simple : du fait de leurs tailles respectives, il n’a vu que ses genoux, et c’est pas ce qu’elle a de mieux.

Vexée par ce manque d’égards, Amanda décide de renverser le cours du destin. Quoiqu’il en coûte (non Jean Pierre, pas « combien ça coûte »), elle attirera son attention. Mais comment faire ? Après avoir voulu devenir amiral, comique et écrivain, elle finit par exploiter ses talents. Pour montrer à Môsieur Bouvard qu’elle n’est pas n’importe qui, elle fréquente des peoples, comme David Bowie, qui lui conseille de chanter (les ravages de la drogue sur la lucidité des gens, c’est terrible...). C’est alors le succès international, la gloire mondiale.

Après avoir fait le tour du monde (tiens, salut Antoine, tu m’enverras une carte postale), elle revient en France en 1992, récolter le fruit du succès : Philippe Bouvard l’invite aux grosses têtes. Il ne le regrette pas, car en plus de parler 5 langues, de chanter et de faire le mannequin, elle est drôle, et connaît un succès immédiat dans la catégorie « Star de la télé ». Cette catégorie regroupe tous les gens qui sont régulièrement invités dans des émissions, sauf que plus personne ne sait pourquoi ils sont connus à la base, comme Dave par exemple.

Pour finir, citons les Nuls lorqu’ils parlent d’elle : « les escarpins, vous les avez en 44 ? ».