L’affaire que vous attendez tous, celle qui divisa la France dans une mesure encore plus importante que l’affaire Dreyffus, fut l’affaire dite "de la petite culotte"... En effet, alors que Mallaury dansait sur un rythme endiablé dans le club Dorothée sur l’un de ses plus grands tubes, elle fit deux tours sur elle-même et faisant ainsi tournoyer sa jupe, offrit aux spectateurs ébahis un spectacle quelque peu indécent dans une émission pour enfant... Malaury n’avait pas de culotte sous sa jupe ! !
Révolté, tout le staff de Ab Prod vint voir notre belle chanteuse (qui venait deux mois auparavant de poser pour le calendrier de Newlook) et la somma de s’expliquer. Mais Mallaury ne se laissait pas faire pour autant. Elle déclara qu’elle portait bien une culotte mais sur laquelle avaient été cousus des poils d’animaux. Tout le monde applaudit et Mallaury put continuer sa carrière tranquillement. C’était sans compter l’intervention de son complice qui, n’ayant pas été payé, vint la dénoncer...

Oui, son complice n’était autre que notre héros national Corbier ! Il avoua alors qu’il avait donné à Mallaury (sur sa demande) des poils de barbe découpés soigneusement de bon matin afin de faire croire à AB Prod que notre chanteuse-danseuse était nue. "FAUX !" répliqua Mallaury. Afin de savoir qui des deux stars détenaient la vérité, on fit prélever les poils sur le dessous de la demoiselle pour analyse ADN. Les test étaient formels : l’échantillon prélevé et fourni au laboratoire pour analyse révèle que les dessous de Mallaury étaient compsés comme suit : mi-Corbier, mi-Demis Roussos assortis de quelques brins de paillassons. Mallaury était foutue, nous ne l’avons plus jamais revue...
Selon elle, "seule sa rencontre avec Dieu" lui a permis d’échapper au pire... Elle a dénoncé sans vergogne la maison mère à de multiples reprises : "Sur les plateaux d’AB Prod, on fumait tout le temps, j’ai pris de la drogue pendant des années".
Son album sorti en décembre 1999 s’intitule Malorie Noel 2000 et elle anime le Cinemascope sur MCM.